Au cours de la première saison de la résidence artistique de Nicolas Simarik Miroir mon beau miroir, l’artiste à l’univers farfelu et décalé avait sillonné et photographié - avec la complicité d’habitants et d’écoliers - le territoire, ou plus exactement les reflets du territoire (sur l’eau, des vitres...) avant de poser les premiers jalons d’une commune imaginaire, baptisée Villereflet.
Mais quelle est cette commune ? De quoi sera-t-elle constituée demain ? Tout reste à imaginer. La proposition de l’artiste est de donner à chacun la liberté d’inventer un cadre de vie idéal, en faisant émerger ses plus grands rêves, en laissant parler son imagination, en tant que parent, enfant, ou même grand-enfant... Grâce à toutes les idées récoltées, cette ville deviendra réelle au printemps 2021, sur un terrain d’expérimentation grandeur nature.