Née à Fontenay-aux-Roses en 1965.
Vit et travaille à Paris et Champagne-sur-Seine
Claire-Jeanne Jézéquel développe depuis 1988 son œuvre dans les domaines de la sculpture et du dessin. Jouant du visible et du tangible, plis, chutes, arrachements, entailles, découpes et lignes brisées agencent, dessinent et matérialisent l’espace en une planéité révélée. Entre sensation tactile, paysage abstrait et architecture minimale, ses assemblages de matériaux prosaïques portent en eux les traces des gestes à la fois de construction et de destruction, paradoxalement aléatoires et maîtrisés, de l’artiste. Sculpture et dessin se répondent, par l’emploi conjoint de leurs matériaux, pour les œuvres graphiques planes, les reliefs muraux ou les sculptures qui s’élèvent du sol. Des papiers détrempés par des lavis d’encre qui s’y répandent en coulures et tâches, sont mis en formes, suspendus, pliés, ou simplement déposés, sur des portants en métal géométriques ou accidentés, qui présentent parfois aussi des surfaces de verre brisé, déployant un vocabulaire entre abandon et structure, transparences calmes ou chatoyantes de l’encre, reflets du verre, et brutalité des cassures.
Formée à l’école des beaux-arts de Grenoble, à la Villa Arson, à Nice et à l’Institut des Hautes Études en Arts Plastiques à Paris, Claire-Jeanne Jézéquel a également été pensionnaire à la Villa Médicis à Rome en 1992, résidente à la Fondation Cartier en 1993 et lauréate de la 13e bourse d’art monumental d’Ivry-sur-Seine en 2001.
Ses œuvres sont exposées régulièrement en France et à l’étranger.
Née à Fontenay-aux-Roses en 1965.
Vit et travaille à Paris et Champagne-sur-Seine
Claire-Jeanne Jézéquel développe depuis 1988 son œuvre dans les domaines de la sculpture et du dessin. Jouant du visible et du tangible, plis, chutes, arrachements, entailles, découpes et lignes brisées agencent, dessinent et matérialisent l’espace en une planéité révélée. Entre sensation tactile, paysage abstrait et architecture minimale, ses assemblages de matériaux prosaïques portent en eux les traces des gestes à la fois de construction et de destruction, paradoxalement aléatoires et maîtrisés, de l’artiste. Sculpture et dessin se répondent, par l’emploi conjoint de leurs matériaux, pour les œuvres graphiques planes, les reliefs muraux ou les sculptures qui s’élèvent du sol. Des papiers détrempés par des lavis d’encre qui s’y répandent en coulures et tâches, sont mis en formes, suspendus, pliés, ou simplement déposés, sur des portants en métal géométriques ou accidentés, qui présentent parfois aussi des surfaces de verre brisé, déployant un vocabulaire entre abandon et structure, transparences calmes ou chatoyantes de l’encre, reflets du verre, et brutalité des cassures.
Formée à l’école des beaux-arts de Grenoble, à la Villa Arson, à Nice et à l’Institut des Hautes Études en Arts Plastiques à Paris, Claire-Jeanne Jézéquel a également été pensionnaire à la Villa Médicis à Rome en 1992, résidente à la Fondation Cartier en 1993 et lauréate de la 13e bourse d’art monumental d’Ivry-sur-Seine en 2001.
Ses œuvres sont exposées régulièrement en France et à l’étranger.